Dans une atmosphère empreinte de solennité et d’espoir, les épreuves de jury des finalistes de l’Institut Technique Médical (ITM) ont été officiellement ouvertes ce mercredi 2 juillet 2025, dans le pôle de Logos. La cérémonie s’est déroulée sous la présidence de la médecin chef de zone, Mme Piracel, représentant le ministre de la Santé publique, de l’Hygiène et de la Prévoyance sociale.
S’adressant aux élèves réunis pour l’occasion, les autorités ont insisté sur le caractère symbolique de cette étape. « Ce n’est pas la finale de la vie », ont-elles rappelé, soulignant que la fin des études à l’ITM constitue plutôt une passerelle vers de nouvelles perspectives, tant professionnelles qu’académiques.
Un moment fort de cette cérémonie a été la reconnaissance du travail et de l’engagement des encadreurs et enseignants. « Ils vous ont formés, corps et âme, pour que chacun puisse connaître la mission qui lui est destinée », a affirmé Mme Piracel, exprimant sa profonde gratitude envers ceux qui ont transmis ce savoir médical essentiel.
L’importance du rôle des soignants a également été mise en avant. « Nous avons besoin des infirmiers et infirmières tous les jours », a-t-elle martelé, rassurant les élèves qu’une fois les résultats proclamés, « vous avez votre place » au sein du système de santé national. Un message clair qui souligne la valeur et l’attente de leur intégration professionnelle.
Dans le contexte actuel de la RDC, l’ouverture de ces épreuves prend une résonance particulière. « Ce n’est pas tous les finalistes qui commencent les épreuves aujourd’hui », a-t-on précisé, faisant de l’ITM un cas exceptionnel reflet d’une organisation efficace et d’un engagement institutionnel fort à offrir les meilleures conditions à ses candidats.
Par cette déclaration, l’autorité sanitaire de la zone de Logo a donné le coup d’envoi officiel des épreuves de jury. Une journée marquée par la reconnaissance, l’espoir et l’ambition une étape déterminante pour les futurs professionnels de santé, prêts à servir avec dévouement la population congolaise.
Eugène Laro