Le consortium « le Congo n’est à vendre » encourage le parquet général près la Cour d’appel de l’Ituri au nord-est de la République Démocratique du Congo, à diligenter une enquête « transparente et rigoureuse » afin de poursuivre les corrupteurs et les corrompues pendant les élections de sénateurs, lors du lancement, le vendredi 15 mars 2024, de la campagne « Ma voix n’est pas à vendre » à l’intention de députés provinciaux.
« Le parquet général est appelé à diligenter une enquête transparente et rigoureuse afin de poursuivre les corrupteurs et les corrompues en vue de décourager ces actes. La Commission électorale nationale indépendante a invalidé le candidat tout prétendant senateur et gouverneur impliqué dans la fraude, la corruption », a indiqué le coordonnateur du consortium « Le Congo n’est pas à vendre », Dieudonné Kasonia.
D’ajouter:
« Le consortium le Congo n’est pas à vendre invite les grands électeurs et d’autres candidats sénateurs, gouverneurs à faire preuve du courage patriotique pour dénoncer toute tentative ou acte de corruption pendant cette période ».
Conscient du rôle de sénateurs dans le fonctionnement du système politique congolais dans la bonne marche de provinces, le consortium le Congo n’est pas à vendre encourage vivement les grands électeurs à faire un vote judicieux pour renforcer la stabilité du pays et l’inclusion du développement durable.
Dieudonné Kasonia a rappelé que « la corruption ternie l’image de notre pays et ses institutions d’où la nécessité de voter un candidat qui fait preuve d’éthique, de probité, remplie de valeurs républicaines qui n’a jamais été accusé ou poursuivi de corruption, qui n’a jamais détourné, qui n’a jamais été impliqué dans la passation frauduleuse de marchés publics ».
Rappelons que la CENI a déjà enrôlé une vingtaine de candidatures pour quatre (4) sièges réservés pour la province de l’Ituri.
Rédaction